Par Xavier Duval, 18/07/2017
La pratique martiale est comparable à un iceberg. Une partie visible, impressionnante par elle-même, et une partie cachée sous l’eau, souvent beaucoup plus grande mais invisible. La partie visible de l’iceberg correspond à la forme extérieure de l’art : ses techniques, alors que la partie immergée correspond à des principes beaucoup plus profonds sans lesquels les techniques en question n’existeraient pas. Si c’est facile à comprendre sur le papier, force est de constater que dans la grande majorité des cas, les pratiquants restent sur le sommet de l’iceberg, en surface. Il est pourtant difficile de les blâmer car la partie immergée étant par définition « invisible » elle n’est pas forcement aussi accessible. lire la suite